Sunday, August 15, 2010

The Lady Of The Market – The Truth


 





C'est un choix, une volonté presque esthétique, de montrer ce que je vois, à travers ma photographie, comme un monde irréellement beau. Car cela est vrai, l'œil peut ainsi interpréter du beau, comme du laid.
Mais il m'est nécessaire, parfois, de me révolter, de dire la vraie vérité.
Non, ce monde n'est pas beau, toujours. Et même, il est souvent plus laid qu'il n'est rarement beau.
La vraie vérité de la dame du marché est que cette pauvre femme n'a rien, et que tout le monde s'en fout.
Elle vit dans un taudis de 6 mètres-carré à 10 mètres de là où tout le monde jette ses ordures. D'où une odeur pestilentielle, la présence de rats et de chats sauvages, qu'elle cuisine sur un feu de bois, que son regard est triste, si triste.
Alors, lorsque l'occasion lui est donnée, elle parle, elle parle. Comme pour noyer de mots son éternel silence….




It is a choice, will almost aesthetic, to show what I see, through my photography, as an unreal beautiful world. Because this is true, the eye can thus interpret the beautiful, as ugliness.
But it's sometimes necessary for me to rebel, to tell the real truth.
No, this world is not beautiful, always. And even it is often more ugly it is rarely beautiful.
The real truth of the lady of the market is that this poor woman has nothing, and no one cares.
She lives in a slum of 6 square meters, 10 meters away from where everybody throws his garbage. So a stench, the presence of rats and wild cats, she cooks on a wood fire, her eyes are sad, so sad.
So when she got the opportunity, she speaks, she speaks. As to drown of words her eternal silence ....

Saturday, August 7, 2010

One More Shooting Day



 

Just a place I went… There was people, as always...